Interview d’Emmanuel Chastellière, auteur de Célestopol.
Comme je suis traducteur de métier, je dois surtout séparer ces deux activités pour que ce que je suis en train de traduire n’influence pas mon écriture. On ne sait jamais ! Pour le reste, je travaille en musique et sur un PC différent de celui avec lequel je traduis, mais là, c’est avant tout « psychologique ». J’essaie de me planifier des plages de 2h d’écriture minimum et de me fixer un seuil, là aussi minimum, de signes à écrire par jour.