Comme vous le savez tous, le quatrième épisode de la troisième saison de la série américaine Castle se déroule dans l’univers du steampunk. L’événement est de taille dans la reconnaissance du genre.
Et aux États-Unis l’épisode a été vu par un peu plus de dix millions de personnes.
Dix millions.
Whaouh.
Plus saisissant est la manière dont les scénaristes expliquent le steampunk, ce qu’il est et où il va, en moins de trente secondes, le temps d’une réplique expéditive. Une véritable leçon de concision et de pédagogie :
« It’s a subculture that embraces the simplicity and romance of the past at the same time, couples it with
the hope and promise and sheer super-coolness of futuristic design. »
La définition est élégante, précise, magnifiquement placée dans l’épisode qui éclaire d’un jour complice notre genre favori.
N’hésitez pas à aller lire l’article de GD Falksen, si vous avez déjà pu le voir. Tout y est dit.
Préparez-vous. De plus en plus de gens vont connaître ce nom, steampunk. Notre grand bazar va bientôt devoir se présenter au grand jour, et je sais que je peux compter sur vous pour que ce soit sous ses plus beaux atours.
Nous en sommes presque à l’étape, « Tiens, voilà les doux dingues qui se déguisent comme la petite étudiante du troisième quand elle sort le vendredi soir. »
Bientôt nous serons simplement des steamers.
Ou plutôt des vaporistes.
PS.: Les Uchroniales de Cergy furent un moment aussi agréable que plaisant. Une frange sympathique, chaleureuse et magnifique de la communauté des steamers était venue à la rencontre de votre vieux serviteur, et nous avons, je crois, passé un agréable moment. Comme un écho à une de nos nombreuses discussions, j’aimerais vous renvoyer au site de The Clockwork Quartet. Deux chansons y sont en libre téléchargement. Elles sont simplement superbes.
Etienne Barillier