Le Volume 2 de la bande dessinée dystopique steampunk « AIR », publié par Grand Angle, conclut une saga haletante. Dans cet univers où l’air est devenu une ressource précieuse, les enjeux ne cessent de grandir. Philippe Pelaez (scénario) et Francis Porcel (dessin) nous plongent dans un récit de manipulation, de vengeance et de rébellion. Si vous n’avez pas encore lu le premier volume, consultez notre précédent article pour une meilleure compréhension de l’intrigue.
Une bande dessinée dystopique steampunk sous tension
Dans la ville de Rodya, l’air est devenu irrespirable depuis la chute de météorites. LEot, une organisation puissante, contrôle la distribution d’air via des vaisseaux purificateurs. Troy Denen, membre du Comité central, est chargé d’infiltrer un réseau rebelle qui sabote ces vaisseaux.
Vérité et manipulation dans « AIR » Volume 2
Cependant, Troy découvre rapidement que ce n’est pas le réseau rebelle qui est à l’origine des attaques, mais bien le gouvernement lui-même. Leur objectif est simple : instaurer un climat de peur pour mieux manipuler la population. Cette révélation bouleverse la quête de Troy. Initialement guidé par le désir de vengeance pour la mort de sa famille, il réalise que son combat doit prendre une autre direction.
Conclusion épique pour la bande dessinée dystopique steampunk
Avec ses 64 pages, ce dernier tome de « AIR » conclut avec brio cette série dystopique steampunk. Le style de Francis Porcel renforce l’atmosphère étouffante de cet univers, tandis que le scénario de Philippe Pelaez ne laisse aucun répit au lecteur. Chaque page offre une montée en tension, rendant cette bande dessinée incontournable pour les amateurs de science-fiction.
Disponible chez Grand Angle, ce second volume est un must-read pour ceux qui cherchent à s’immerger dans une dystopie steampunk.
ISBN : 979 1 0411 0855 3 – 16,90 €